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vendredi 30 juillet 2010

UNE ANNONCE
INTEMPESTIVE.



Le maire de Saint Quay Portrieux a signé un arrêté municipal * et à grand renfort médiatique, toute la France sait que maintenant dans notre ville le fait d’être un jeune de moins de seize ans non accompagné après 23 heures coûte 11 euros.
Sur FR.3 Bretagne, sur A 2 nationale, sur RTL et sur la presse papier, le maire se présente avant tout comme le défenseur des jeunes contre eux mêmes.
Le maire, en bon grand père( vu à télé), poussette en main dans la rue, est ruisselant de bonnes attentions, on attend plus que sa vision morale sur la jeunesse d’aujourd’hui.
C’est sûr que depuis qu’il passe à la télé, le roi n’est plus son cousin et hélas il nous faut abandonner son affirmation électorale retranscrite dans son programme.
« Il ne faut pas avoir le goût de soi mais avoir le goût des autres » et cela dans le style péremptoire que nous lui connaissons.
Il fait parler de lui à bon compte d’autant que son arrêté est difficilement applicable :
Les zones du couvre-feu ne sont pas clairement définies et les moyens d’application de l’arrêté sont faibles localement (deux policiers municipaux travaillant le jour ?) et la gendarmerie se déplaçant sur le canton.
Les dégradations importantes constatées ces derniers temps : voitures incendiées, chaussée et façades de maisons détériorées, véhicules abîmés, etc ont été faites hors saison estivale, des suspects ont été jugés , condamnés à de faibles peines, ce n’était pas des moins de seize ans.
Alors pourquoi, après deux années de laxisme, se focaliser sur la jeunesse passant ses vacances au bord de mer ?
Il faut vraiment oublier sa propre jeunesse ou ne pas en avoir eu pour sortir de son chapeau ce couvre-feu.
Ce terme fait encore peur à certains anciens…..
Bientôt ces jeunes pourront adresser des sourires aux caméras que la municipalité se propose d’installer.
Pour se faire une opinion, une délégation d’élus est partie regarder ce genre d’installation à Loudéac, où se trouve la zone industrielle la plus importante des Côtes d’Armor.
C’est avec ses 10 000 habitants, un important centre de l’industrie agro-alimentaire avec 7 300 emplois et 440 entreprises industrielles, artisanales et commerciales.
Hormis la mer, la comparaison avec notre citée endormie est évidente !!!
Une étude est en cours, les autorisations aussi et notre municipalité envisage, pour 70 000 € l’installation de 7 caméras infrarouges et des dispositifs d’enregistrement consultables à distance par un cercle restreint de personne.
Des subventions d’état sont possibles.
Cette nouvelle étude rejoint les nombreuses en cours, quand on a des bons amis dans des bureaux d’études on ne compte pas (355 000 € sont déjà prévus dans le B.P 2010).
On ne dira jamais assez que deux années à ne pas écouter les quinocéens excédés par une succession de dégradations conduisent aujourd’hui à ce coup médiatique de notre premier magistrat.
Etre jeune à Saint Quay autour de 16 ans, y avoir ces premiers émois ne va pas être un chemin bordé de fleurs …

« papier s’il vous plait, c’est bon circuler…pas de papier , pas 16 ans, retour illico presto au bercail avec la petite note de 11 euros »

Sur l’aspect publicitaire fait à notre ville par cette description de l’insécurité ambiante et avec en plus les échos d’une municipalité qui continue à s’entredéchirer ce n’est pas gagné pour réveiller notre ville « éteinte »
Les éventuels commerçants voulant s’installer, les acquéreurs immobiliers vont s’en doute réfléchir à vos propos M le maire, même si vous reconnaissez que ce n’est pas encore Chicago ?
Reste Kertugal, la tranquillité semble toujours de rigueur de ce côté et d’ailleurs les herbes folles poussent en toute quiétude sur les trottoirs, mais attention M le Maire chez les gallos de ce quartier un mouvement d’indépendance se fait jour, devant les faits délictuels et l’insécurité traversant les quartiers du centre et du port selon vos dires, ils se pourrait que l’on prenne encore plus de hauteur à Kertugal et que l’on demande la sécession avec le reste de Saint Quay .

*du 20 juillet au 15 septembre 2010, de 23 heures à 6 heures du matin.

JOUNENT michel

mercredi 28 juillet 2010

Villeneuve et moi 28/07/2010

ARRÊTEZ DE DÉNIGRER,
FAITE DES PROPOSITIONS !!!


Ce credo, Jean-François Villeneuve et moi-même l’entendons plus que de raison.
C’est celui des âmes quinocéennes bien pensantes, c’est celui des personnes qui refusent de porter un regard lucide sur les 28 mois aux affaires du maire élu en mars 2008.
Dans son blog de mars 2008, M Blanc écrivait « tout de go » à ceux qui prônaient une opposition au sein de la municipalité :
« Cette opposition que l’on devine de principe est souvent systématique, négative et finit au fil des mois par devenir destructrice ».
Chacun se souvient que des recalés du premier tour des municipales ont sollicité un strapontin dans la liste « autrement » de M Blanc et ce dernier a répondu « notre conseil municipal doit être homogène parce que la tâche est lourde et les dossiers complexes ».
Après ce dictat, imaginer que le contenu des blogs « le LEQ et le Blog de michel » puisse être des éléments de la réflexion municipale dépasse l’optimisme le plus béat .
Il n’est pas interdit jusqu’à preuve du contraire dans le cadre de la vie démocratique de notre ville de dire et d’exprimer notre pensée sur les dossiers en cours à Saint Quay Portrieux.
A chaque fois que nous demandons des documents administratifs, dans le cadre des lois sur les collectivités territoriales, pour étayer notre réflexion, c’est la croix et  la bannière.
Les réponses sont longues à venir et dilatoires, on finit par croire que la moindre question relève du « secret-défense ».
Autrement dit « circulez, il n’y a rien à voir »
Le rôle des blogs dans la vie municipale n’est pas exceptionnel,
le bon sens ne nous égare pas encore.
Ils demandent pas mal de temps et de travail et rien n’est simple avec certains élus.
La déliquescence de cette équipe soi disante homogène n’a pas tardé et les deux blogs locaux n’y sont pour rien.

Quelques étapes de cette désagrégation :
• En automne 2008, une majorité d’élus se déclare au sein de l’équipe « homogène » en désaccord avec le maire.
• Dans le même trimestre , le maire se plaint que le deuxième adjoint a voulu lui casser la figure , s’ensuit des plaintes au pénal.
• Deux adjoints, dans la même période perdent leurs délégations de signature.
• Le DGS en place se voit montrer la sortie !
• Au printemps 2008, six élus démissionnent avec fracas.
• Un nouveau DGS en avril 2009 est embauché.
• Ce nouveau DGS ,16 mois après n’est plus en odeur de sainteté…au suivant.
• Les conseils municipaux se suivent et se ressemblent dans l’animosité et l’échange de noms d’oiseaux.
• Les délégations du maire votées à l’unanimité en avril 2008, lui donnent des pouvoirs exorbitants.
• Les financements du CLJ, la rénovation du Centre des congrès, la reconstruction d’un cinéma et la réhabilitation du GR34 font partie du domaine réservé du maire.

Alors, face à cette gestion solitaire du maire et d’un ou deux de ses adjoints au plus , il est bien illusoire que le temps des propositions soit arrivé pour les blogs.
Nos blogs ne font que traduire et dire ce que le blog officiel de la ville ne fait pas.

Une décision qui a surpris des élus, l’instauration du couvre-feu, notre maire de passage à la télé FR.3 a expliqué sa décision , il dit aussi dans la presse connaître les délinquants.
Fort bien, dans le cadre de son état d’officier de police judiciaire, qu’il fasse connaître ses renseignements à la gendarmerie, les quinocéens y gagneront en tranquillité.
Le temps des propositions et de mettre un peu de temps libre au service de cette municipalité semble aujourd’hui bien superfétatoire pour les bénévoles du blog.


JOUNENT michel                                                                                  VILLENEUVE  jean-françois

mardi 27 juillet 2010

le couvre -feu...27/07/2010

COUVRE-FEU*
à
SAINT QUAY PORTRIEUX !!!




Par un arrêté municipal , le maire interdit aux jeunes âgés de moins de 16 ans , de circuler non accompagnés entre 23 heures et 6 heures du matin.
Cette interdiction est effective depuis le 20 juillet et jusqu’au 15 septembre 2010, dans deux secteurs géographiques de la ville : le quartier du Portrieux et le quartier du Centre, sans plus de précision.
* Couvre feu, selon le dictionnaire : dans un pays en état de siège, interdiction de sortir de chez soi à partir d’une certaine heure.
Voilà, on en est là, depuis des mois, les incivilités se multiplient en ville, la petite délinquance a trouvé un terrain d’activité sur notre station balnéaire.
Voitures incendiées , détériorations immobilières, destruction du matériel urbain, bagarres et trafics en tout genre autour de la discothèque, malveillances sur la décoration florale, etc… mais nous ne sommes pas, il serait ridicule de faire des parallèles, dans la situation des grands ensembles immobiliers des villes importantes de notre pays.
Cela ressemble plus pour notre cité à un lieu de rendez-vous pour jeux imbéciles.
Par son laxisme, malgré les informations produites par le « LEQ » et mon blog, elles n’ ont pas manqué de mettre en évidence la réalité de cette petite délinquance , la municipalité a tardé à prendre la mesure de cette situation.
Souvenons nous de l’une des premières mesure prise par le maire dès son élection : réduire les effectifs de la police municipale et congédier le chien policier ( il est mort depuis sans doute de chagrin).
La police municipale ne peut pas tout, mais en sous effectifs elle ne peut rien.
Le probléme du stationnement sauvage des voitures est une incivilité notoire, où est la réponse de la municipalité ?
Elle est à l’image du maire qui stationne n’importe comment, je l’ai montrée sur le LEQ par une photo et si le premier magistrat ne montre pas l’exemple… on connaît la suite.
La vidéo surveillance est à l’ordre du jour du prochain conseil municipal, si la présence de caméras est à l’évidence dissuasive, il est aussi  évident qu’une délinquance cagoulée et effrontée se moquera de la présence de ces caméras.
S’il s’agit d’enregistrer les méfaits des voyous et de les confier à la gendarmerie, les délais seront longs pour identifier ces présumés coupables.
Cette vidéo surveillance fait ses preuves dans les grandes villes ou l’interactivité existe entre les opérateurs visionnant les images des caméras et les forces de police ou de gendarmerie.
Cet investissement et le fonctionnement de cette vidéo surveillance a un coût, et il sera important, on sait où commence ce genre d’opération et où s’arrêtera-t-elle avant de prouver son efficacité ?
Vidéo surveillance, couvre feu , embauche d’un directeur de l’information , d’un nouveau directeur général des services et puis son licenciement au bout de seize mois, le titre de « Saint Quay Portrieux autrement » de la municipalité actuelle n’est pas usurpé.
Jeudi, en fin d’après midi au conseil municipal , le maire et les élus devront faire connaître les vrais solutions pour ramener la tranquillité dans la vie des quinocéens au quotidien.



JOUNENT michel

dimanche 25 juillet 2010

UN DÉFICIT DE DÉMOCRATIE.





Le 22 juillet 2010, sur le panneau d’affichage des documents administratifs de l’hôtel de ville, la convocation réglementaire du conseil municipal a été portée à la connaissance d’un petit nombre de quinocéens.
Les conseillers municipaux sont convoqués le 29 juillet 2010 à 18 h30 dans le respect des textes.
Le conseil municipal est une assemblée délibérative et ses travaux sont ouverts à l’écoute et à la vue du public.
Cette réunion n’est pas à ce jour répercutée par la presse et l’information municipale par son blog officiel ne brille pas pour porter à la connaissance du plus grand nombre la tenue de ce conseil.
Au 25/07/2010, le maire et son directeur de la communication préfèrent informer sur un tournoi de cartes.
Les cartes c’est sympa, mais la vie municipale ce n’est pas mal non plus !
Ce conseil a 19 points à son ordre du jour , c’est lourd , d’autant que plusieurs points ne manqueront pas de creuser encore, au grand jour , les crevasses qui séparent les membres de la municipalité.
Cette équipe, les 17 restants continuent à montrer leurs divisions devant des choix cruciaux.
• Le cinéma « Arletty » avec le gouffre financier qu’il représente.
• La vidéo surveillance, système sécuritaire disproportionné pour une ville de 3 350 habitants.
• Approbation, deux années après la fin des travaux, d’un avenant (lot 6, avenant1) pour l’aire de carénage.
• Et puis, que devient le directeur général des services et pourquoi l’embauche provisoire d’une directrice des ressources humaines ?
Une nouvelle fois ce conseil ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices.
Cette absence de publicité sur la réunion du conseil municipal n’a rien d’étonnant, la municipalité est devenue « un bateau ivre » et son dirigeant, loin d’être un poète, a choisi de conduire son activité en catimini.
Lecteurs de mon blog, appelez vos amis, le plus grand nombre possible, à venir au conseil, et constatez de visu, que l’on dépense sans compter votre argent.


JOUNENT Michel










vendredi 23 juillet 2010

Ta ga da, ta ga da voilà les dalton… iens.


La « Presse d’Armor »a fait son titre sur Saint Quay Portrieux en disant que la ville passe au vert et tout cela à partir de l’installation de composteurs.
Avec le plan de circulation, le énième plan, la ville passe plutôt au rouge.
Le cahier disposé à l’Hôtel de ville pour recueillir les observations des quinocéens est loin d’être noirci par les remarques (une trentaine depuis le 12 juillet 2010) .
Le ton et le sens général des écrits sont sans appel, la carte avec les noms illisibles des rues fait l’unanimité contre et l’incompréhension transpire sur le sens de cette étude.
Les remarques font la démonstration de la multitude des intérêts particuliers, on n’est pas sorti de l’auberge !!!
Ce plan déjà largement rejeté par les commerçants finira à coup sûr aux oubliettes.
Un exemple délirant de ce projet : vous venez du port pour aller vers le centre, vous prenez la rue Bocuze, la rue des lavandes, le carrefour en épingle à cheveux près du sémaphore, la rue Paul Déroulède et la rue de Dol mise en double sens.
Un poids lourd faisant le chemin inverse sera automatiquement obligé de prendre la rue du général Castelnau ensuite ce sera l’aventure par l’avenue de la comtesse et le Bd Foch pour rejoindre le port.
Les piétons passant par la rue Castelnau, rue étroite et sans trottoir, devront signer leur testament avant de s’aventurer par cet itinéraire.
Ce plan est un bel exemple de la gabegie municipale.
Cet argent n’est pas perdu pour tout le monde, les bureaux d’études du Trégor , du Léon et de tout l’Hexagone ont dû se passer le mot , il y a du fric à se faire à Saint Quay Portrieux .
Quant à notre chef du compostage municipal, il va encore faire encore grise mine.
Son exposition sur les vertus de l’utilisation du composteur individuel et portatif est minable sur la pelouse de l’Hôtel de ville.
Il ne lui reste plus qu’à rapatrier les composteurs peinturlurés de la Place de la France-Libre pour redonner de la couleur à l’Hôtel de ville dirigé par M Blanc.



JOUNENT michel.

jeudi 22 juillet 2010

DES NOUVELLES...

Sans doute trop vénielles pour que la communication municipale en fasse état.
Les gens du voyage sont partis dans les délais impartis.
Ils étaient bien plus nombreux que ne l’a décrit notre maire, au moins une centaine d’attelages.
Lors du prochain conseil municipal, notre édile ne manquera pas de nous informer sur les sommes reçues par la régie municipale à titre de dédommagement, la somme demandée était de 20 euros par famille et pour la semaine ?
Après ce départ, sur l ‘état des lieux il n’y a rien à dire et c’est à mettre à l’avantage de ces squatters.
Depuis, les services techniques de la ville ont multiplié les obstacles, d’énormes rochers barrent une entrée secondaire, une benne l’entrée principale du stade Eugène Lallinec, espérons que des mesures similaires ont été prises pour la partie arrière des installations sportives, celles qui touchent la partie boisée contiguë au terrain d’entraînement du foot.
Une autre petite, bonne nouvelle, le pantin désarticulé pendu au milieu d’un trépied sur la pelouse devançant l’hôtel de ville a été retiré de la vue des passants.

Sans aucun doute, le chef local du compostage est intervenu pour mettre fin au supplice de ce malheureux épouvantail, à l’évidence cet élu prend de l’importance dans la vie municipale et ses collègues du conseil municipal feraient bien de suivre sa détermination.
Enfin le maire a trouvé un soutien tangible, il en a bien besoin ces derniers temps.

JOUNENT michel

mercredi 21 juillet 2010

CLJ/Cinéma 21/07/2010

C’est bien joli d’agrandir le CLJ et de reconstruire le cinéma
MAIS AVEC QUEL ARGENT !!!


Sur le CLJ, de nombreux conseillers municipaux et la population ont découvert après l’inauguration du bâtiment (transformé pour environ 500 000 € )que le plan de financement n’était pas achevé.
Comme le maire ne peut pas encore être totalement opaque sur son activité et comme fatalement, à son corps défendant, l’information finit par transpirer ,on lit dans le blog municipal qu’il a sollicité, entre autre ,auprès de la région, une subvention de 50 000 €. !!!
Des élus ayant assumé des responsabilités municipales confirment que les collectivités territoriales et d’autres organismes financeurs n’acceptent pas d’être mis devant le fait accompli par les travaux terminés.
C’est le bons sens, un projet d’importance est chiffré puis voté par le conseil municipal, une fois établi les possibilités de financement de la commune, on cherche à subventionner cette réalisation par des aides de collectivités territoriales ou d’organismes financeurs concernés par ce projet.
Et c’est seulement le plan de financement établi que peuvent commencer les travaux.
Pour gagner ces bailleurs de fonds à subventionner les projets en cours, il faut travailler les dossiers, il faut être persuasif et avoir de l’entregent et surtout ne pas ménager son temps.
A Saint Quay, en étant indulgent, notre maire est présent à mi temps dix mois de l’année , c’est peut être le début de l’explication que le travail collectif avec les élus et le personnel soit si compliqué.
Il règne à l’hôtel de ville une triste ambiance et ce n’est pas l’épouvantail en posture de pendu sur la pelouse face au bâtiment qui va éteindre cette morosité.
La violente mise sur la touche du directeur général des services, moins d’un an et demi après son embauche par le maire actuel, confirme qu’il y a beaucoup à dire sur le dirigeant municipal et sur le rôle de sa garde rapprochée.
La reconstruction du cinéma est maintenant lancée à marche forcée, son coût estimatif ne cesse de gonfler et bien sûr là aussi le plan de financement est dans les limbes.
Il ne semble pas que notre maire s’intéresse à l’économie nationale et soit au courant qu’il va falloir sensiblement revoir ses ambitions haussmanniennes !!!
L’association support du cinéma « Arletty » est, depuis le naufrage du spectacle son et lumière, programmé au 15 août, aux abonnés absents, c’était bien la peine de la subventionner (encore un problème d’ego).
En attendant, le déficit de fonctionnement de cette salle de projection n’est jamais envisagé ni évalué.
Investissement et fonctionnement du cinéma…..on va vers des sommets.
Bientôt les 400 000 € empruntés pour payer les indemnités dues pour l’arrêt des travaux paraîtront une goutte d’eau dans cet océan de dépenses de l ‘équipe municipale…. « Autrement Saint Quay Portrieux ».
Et dire qu’il y a encore des interrogations sur la réforme des collectivités territoriales, un exemple à méditer :
La communauté de commune « Sudgoélo » est dirigée par un président et un conseil communautaire, le canton d’Etables sur mer recouvre les mêmes communes et a son conseiller général.
La même personne est : Président du « Sudgoélo », maire de l’une de ces communes, Conseiller général et sans oublier vice président de quelques autres entités et il ne faudrait pas faire avancer la réforme ?



JOUNENT michel

dimanche 18 juillet 2010

LE PLAN DE CIRCULATION DE SAINT QUAY PORTRIEUX OU LE RETOUR
DE .....DÉDALE.

Depuis le 12 juillet 2010 dans le hall de l’hôtel de ville, sur une carte quasiment muette (on ne voit que très peu le nom des rues ),on peut découvrir les cogitations d’un bureau d’études avalisées par une partie des élus.
L’affaire commence, il est important que les quinocéens s’intéressent à ces élucubrations !!!
Si je devais retenir quelque chose de ce plan c’est la proposition de sortir de la ville en passant par le futur rond point des prés Mario, la rue Martouret et la rue du Moulin Saint Michel étant mises en sens unique,il faudra emprunter la rue du Bel Air dans sa première partie en sens unique entre le cimetière et le marchand funéraire.
C’est un sacré raidillon particulièrement étroit pour les poids lourds.
En attendant ,on raconte que la municipalité distribuera à la population afin de faciliter la circulation dans cet entrelacement de rues, une boussole et un GPS.
Mais pour ceux qui craignent l’usage difficile de ces deux matériels et pour être sûr de rentrer chez eux sans dommage ,le mieux sera de posséder une pelote de ficelle.
Et comme Ariane pour sortir sans dommage de ce labyrinthe  ,il suffira de dérouler la ficelle attacher à son domicile et une fois le déplacement effectué, rembobiner la ficelle, c’est simple et par le passé ,cela a fait largement ses preuves .



JOUNENT michel

samedi 17 juillet 2010

UN MAIRE QUI NE MANQUE PAS D’R !!!


On ne compte pas les deniers publics à la mairie de Saint Quay Portrieux , et vlan, encore de l’argent public jeté à la mer !
Le 15 juillet, les quinocéens ont pu constater la présence, au coin de la rue Pasteur et du boulevard Foch, d’une plaque de rue signalant la nomination de la  place-parking près de la poste  en « place Jean Baptiste Barat ».
Passons sur le côté banal de cette plaque.
Elles ne sont pourtant pas mal les plaques des rues portant l’emblème de la ville!
Mais voilà, honorer la mémoire d’un quinocéen, photographe de la ville pendant la fin du 19 ème siècle et du début du 20 ème, appelle aussi au respect de l’orthographe de son patronyme.
En mettant deux « r » à son nom, le maire, qui n’en manque pas, a du faire retirer « dare- dare » l’objet de raillerie de la part des habitants connaissant un peu ce photographe.

A force de s’occuper de tout, on finit par ne s’occuper de rien.

JOUNENT michel

jeudi 15 juillet 2010

QUINOCÉENS….
A VOS POCHES !!!



Le maire, le 5 juillet 2010 dans le journal « Ouest-France », a fait paraître dans le cadre des annonces légales, un appel d’offre pour la restructuration du cinéma « Arletty ».
Le montant estimé des travaux est de l’ordre de 1 000 000 € HT… Un million d’euros pour commencer.
Pour une telle somme, on peut parler d’une reconstruction, on est déjà loin des 700 000 € consignés dans les délibérations du conseil municipal.
Au delà de l’auto financement, il est envisagé la possibilité d’obtenir des subventions.
Le maire, dans une démarche qui dépasse l’entendement, met en quelque sorte le Conseil régional, le Conseil général, le Centre National de la Cinématographie et la Fondation du patrimoine en demeure de subventionner ce projet.
Cette manière de financer les travaux sort de l’ordinaire, en général on essaie d’obtenir les subventions avant de débuter les travaux.
Du cinéma-théâtre promis dans le programme « Saint Quay Portrieux autrement » il ne restera plus que le cinéma.
Dans les temps qui courent, dans ces temps de rigueur budgétaire avec cette politique nationale ou le gouvernement demande aux collectivités locales de réduire la voilure et bien notre premier magistrat a enfourché un cheval fou.
Sans doute le destrier du fameux Chevalier blanc.
Il mène notre municipalité au désastre financier, les dépenses tombent comme à Gravelotte.
On reviendra bientôt sur les 400 000 € de l’aire de carénage jetés à l’eau.
On n’oubliera pas les études concernant « le schéma directeur Saint Quay Portieux 2020 » et leurs coûts.
On a encore en mémoire l’audit financier confié à un grand cabinet pour le résultat que l’on sait.
On a toujours présent à l’esprit l’embauche coûteuse d’un directeur à la communication, début de la fronde d’une partie du conseil municipal.
Hier, le maire a inauguré le CLJ, il faudra un jour faire le ratio entre sa dépense(370 000 €) et les deux mois de son utilisation quand à l’usage de ce bâtiment pour les jeunes de 13 à 17 ans , deux après midi par semaine , les problèmes sont devant nous.
La signalétique et le plan de circulation ne vont pas tarder à cristalliser notre curiosité et là aussi beaucoup d’argent dépensé pour pas grand chose d’essentiel à la vie des 3 350 quinocéens.
Il y a un projet de télé surveillance au prochain conseil municipal, ce  ne sera  pas donné.
Mais puisque l’heure est au cinéma, le dernier navet scénarisé par notre maire ,c'est le sort fait au directeur général des services , embauché le 1er Avril 2009, date prémonitoire sur ce qu’il lui arrive aujourd’hui, il est débarqué !!!
A moins d’une mesure disciplinaire, il sera remis à disposition du centre de gestion du personnel des collectivités territoriales (Plérin) et pendant une durée allant jusqu'à trois années (à vérifier) son salaire sera assuré par notre municipalité jusqu'à ce qu’il retrouve un emploi.
Je ne développe pas sur le salaire du DGS dans notre ville balnéaire surclassée.

Dans le budget communal, la partie fonctionnement dépasse déjà les 50%, cela ne va pas s’arranger.

JOUNENT michel

mercredi 14 juillet 2010

les nomades 2.... 14/07/2010

LES GENS DU VOYAGE (suite, mais pas encore la fin).


Dans un premier temps, ces personnes se sont installées à la périphérie des installations sportives du stade Eugène LALLINEC, devant le peu d’efficacité du maire à faire respecter la loi, elles sont rentrées dans l’enceinte sportive avec leur matériel roulant (voitures et caravanes) et stationnent derrière la tribune.

Evidemment, le stade n’est plus accessible aux sportifs, les tireurs à l’arc en particulier, on imagine les dangers mortels de leur exercice.
Ces personnes avec famille et enfants ne sont pas des indigents, ce ne sont pas des malheureux, ce ne sont pas des voyageurs venus de pays de l’Europe de l’est , totalement démunis.
Dans ce dernier cas, ils auraient bien sûr reçu une entraide de la municipalité et connu dans un premier temps la solidarité généreuse des quinocéens.
Non, ce sont des gens qui ont choisi une autre manière de vivre dans leurs somptueuses caravanes et c’est leur choix, mais cela ne les autorise pas à s’affranchir de la réglementation communale et des lois en général.
Après leur passage, ce sera hélas la dévastation des lieux et pour cette dernière occupation les sanitaires du stade, les installations sportives seront abîmées.
La consommation de l’eau et de l’électricité sans contrôle ne sera pas facturée.
Ils ne paient pas, de plus, comme tous les voyageurs fréquentant un terrain de camping, des taxes de séjour.

Le maire a, semble t’il, d’autres problèmes à régler en ce début d’été, au bout de vingt huit mois à la tête de la municipalité, une opération de mise au pas du personnel communal est en cours.
La plupart des conseillers municipaux mis à l’écart ne participent pas aux prises de décisions visant à la bonne marche de la commune.
Décidemment, dans l’art de faire le vide autour de soi, le maire n’a pas son pareil.
Les riverains et spectateurs sans voix de ce campement sauvage rappellent que, sous l’ancienne municipalité, pour prévenir la venue de ces squatters, un réseau de citoyens alertait en temps réel leur arrivée et généralement l’intervention rapide des élus conduisait à la non installation des « gens du voyage ».
Le conseil municipal du 29 juillet 2010 est attendu avec impatience par les quinocéens de plus en plus inquiets des « rumeurs *» provenant de la mairie.
Pour ma part, j’attends avec beaucoup de curiosité le contenu du contrat d’amodiation avec un chantier naval, j’attends aussi la clarté sur les délais et la couverture par les assurances de la rénovation du Centre des congrès, j’aimerais aussi entendre quand les travaux de reconstruction du GR 34 commenceront et puis surtout des explications sur la venue provisoire (du 12/07/au 30/09) d’une personne chargée du personnel et des dossiers particuliers de monsieur le maire ?

*Dès son élection en mars 2008, le maire a « débarqué » le Directeur Général des Services.
Le 1er avril 2009, un nouveau directeur a pris ses fonctions…….il y a 16 mois ?
Depuis quelques jours, l’embauche d’une personne directrice des ressources humaines pose de graves questions sur le fonctionnement démocratique de la municipalité et sur le sort du DGS encore en place !!!



JOUNENT michel





mardi 13 juillet 2010

LE CLJ * A ÉTÉ INAUGURÉ
CE SAMEDI 10 JUILLET 2010,
après deux années de tergiversation et un trimestre de travaux.



Personne n’a oublié l’épisode de sa réinstallation dans la partie inférieure du Centre des congrès rénové.
Son transfert dans le bâtiment appelé la « rotonde » était un projet de l’ancienne municipalité.
En effet , l’ancienne municipalité, par un vote lors du conseil municipal du 16 novembre 2007, avait décidé par 18 élus sur 19, de modifier le bâtiment ou se trouvait le poste de secours en transformant le rez- de- chaussée.
Les sanitaires auraient été déplacés et, à la place, on aurait aménagé une salle pour le CLJ.
La municipalité actuelle est traversée par une singulière volonté , celle de nier et de brocarder le travail de l’équipe sortante.
Le dénigrement systématique des réalisations de l’équipe en charge pendant sept années de la municipalité ne fait pas taire pour autant les interrogations de beaucoup de quinocéens sur la vie chaotique et les intrigues au sein de l’équipe dirigeant la commune
A l’inauguration du CLJ, on a écouté le maire se répandre sur sa vie privée et appris que la ville de Saint Jacut avait échappé au pire.
Sur le terrain de l’esthétisme du bâtiment et de son extension, tous les goûts sont dans la nature.
L’usage et le temps diront si les choix retenus ont été les bons.
Par contre une question mérite d’être creusée, pour deux mois d’usage par an, le maire a investi 370 000 € subventionné à hauteur de (50 000 € de la région + 40 000 € du département + 29 000 € de la CAF) .
Sur l’auto financement des 251 000 € restants, il y a un prêt de 29 000 € à 0% de la CAF.
On note en écoutant le maire que le budget estimatif de la réalisation est passé de 460 000 € à 370 000 €.
Dans quelles conditions, devant cette énorme réduction, s’est déroulé l’appel d’offre ????
Face à cette nouvelle installation du CLJ, la municipalité a investi dans la location de deux mobil homes pour y installer sur l’esplanade dominant la piscine le poste de secours.
Cette installation a demandé la location d’une gigantesque grue ainsi que d’importants travaux de terrassement pour brancher l’eau et l’électricité, sans parler du branchement téléphonique et de la mise en place de bacs contenant des arbres pour rendre le lieu moins austère.
Un peu de curiosité devrait conduire les élus faisant encore leur travail à connaître le coût de cet investissement pour deux mois par an du CLJ et du poste de secours dans leurs nouvelles installations.
Et le coût aussi, de deux après midi par semaine pendant les dix autres mois de l’année du CLJ devenant le foyer pour 10 ou 20 jeunes.
La « rotonde » expression phare et référence à la politique de la municipalité vers les jeunes certes a un prix de fonctionnement, lequel ?
En attendant les moins jeunes et les seniors attendent toujours les travaux pour pratiquer le GR 34, faute de passage ils pourront toujours admirer les « crottoirs » pour chiens.
Après les composteurs il faut bien reconnaître que rien n’arrête plus l’imagination débordante de certains élus.

* Centre de Loisirs des Jeunes

JOUNENT Michel

dimanche 11 juillet 2010

les nomades 11/07/2010

LES GENS DU VOYAGE…



En avril 2010, il y avait eu déjà un épisode d’installation des gens du voyage à proximité de l’usine de traitement des eaux usées (article du blog de michel du 13/04/2010 ).
Le maire n’avait pas fait preuve de beaucoup d’efforts pour demander à ces personnes de respecter la réglementation.  
Ce dimanche, un grand nombre de caravanes et véhicules ceinturent le stade Lallinec et les gens du voyage utilisent les commodités des installations sportives et utilisent la pelouse du terrain de foot.
La commune de Saint Quay Portrieux, compte-tenu du nombre d’habitants, n’est pas tenue de mettre un terrain à la disposition de ces itinérants.
Cette installation d’un grand nombre de personnes pose de multiples problèmes :sanitaires, sécurité des enfants jouant le long d’une route passagère et rapport conflictuel ave la population avoisinante.
De plus, à proximité immédiate du stationnement « sauvage », se trouve la zone artisanale, le remblai barrant son accès est déjà défoncé, quel sort sera-t-il fait aux bornes apportant eau et électricité?
Chacun aujourd’hui connaît la délinquance qui est faite autour du vol de matériaux (cuivre en l’occurrence).
Un peu d’autorité et de travail, Monsieur le Maire, pour que notre commune connaisse une tranquillité en toute saison et puis faite intervenir la gendarmerie.
Vous en connaissez l’adresse, c’est la même ou, suite à un agacement, vous avez avec vos collègues du conseil municipal, porté plainte avec le succès que l’on connaît à l’encontre de deux quinocéens regardant de très près la réalisation de vos promesses électorales.
Ce nouveau probléme devrait faire réfléchir le conseil municipal du 29 juillet sur l’utilité de la télé surveillance dans notre commune.
Si la ville s’inscrit dans cette solution, combien de caméras ? Quelle sera l’importance du centre de contrôle recevant les images ? Une nouvelle fois, à l’image du schéma directeur, on se lance dans des dépenses disproportionnées et certainement pas subventionnées pour notre commune.



JOUNENT michel

mercredi 7 juillet 2010

HISTOIRE
D‘UN FIASCO
à 3 000 €. HT



La campagne, la première, de stérilisation des œufs de goélands a échoué pour une simple raison, elle a commencé trop tard (Le 25 mai 2010).
Les résultats constatés sont bien maigres.
Le goéland, une espèce envahissante, n’a pas été évincé, bien au contraire les quinocéens constatent maintenant le déplacement des lieux de nidification.
Ces bestioles pondent début avril, l’incubation dure un mois.
La stérilisation par une pulvérisation à base d’huile pour obstruer les pores des coquilles, commençant en retard , a seulement dérangé ces couples de volatiles.
En ciblant l’opération principalement sur les toits de l’habitat collectif et des écoles, on est allé au plus simple et au moins coûteux.
Les oiseaux mesurant le sort que l’on avait fait à leurs œufs, ont pondu de nouveau en construisant des nids sur l’habitat pavillonnaire.
Depuis quelques temps, des poussins, après des essais en vol ratés se baladent dans les rues du Portieux, les parents deviennent très agressifs en les surveillant…..Attention, ils ont le bec méchant !!!
Sur le littoral, le nombre d’oiseaux marins est en régression, par contre, dans les sites urbanisés du bord de mer, ils pullulent.
A Saint Quay Portrieux, c’est le cas ; les oiseaux ont table ouverte avec la criée, avec l’usine de congélation et avec de nombreuses poubelles ouvertes au quatre vents.
La municipalité s’est plainte du retard apporté par la préfecture pour autoriser les opérations de stérilisation, elle avait fait sa demande le 24/09/2009.
Devant ces lenteurs administratives, il n’est pas interdit à nos élus de se hâter à déposer dès maintenant une demande de stérilisation des oeufs , le plus tôt serait le mieux.
De plus, pour réduire sensiblement cette espèce d’oiseaux opportunistes, il est aussi urgent d’étendre cette opération à beaucoup plus de nids dès les pontes d’avril 2011.
Beaucoup de toits de notre commune sont souillés, des lampadaires sont maculés, des murs sont recouverts de fientes, des véhicules sont salis.
Ce n’est pas seulement un probléme visuel, c’est aussi un souci sanitaire.
Les goélands ne sont pas les seuls à ternir nos rues et les habitations, les pigeons, eux aussi, participent à ces dégradations.
Sur la prolifération des oiseaux de plusieurs espèces, tout le monde a pu constater le peu d’empressement des élus à se saisir de ce problème .
En ville , le seul élu que l’on croise est le père de l’épouvantail installé sur la pelouse de la mairie ; où sont les autres et, en particulier, les adjoints pour voir et régler ce probléme de pollution ornithologique.




JOUNENT michel

dimanche 4 juillet 2010

BIZARRE ? VOUS AVEZ DIT BIZARRE….



Sur le chemin des douaniers, tous les quinocéens le fréquentant ont pu constater qu’au-dessus de la plage des châtelets on remplaçait les réverbères.
Du même style que ceux installés sur le boulevard Foch rénové, il ne restait plus qu’à terminer la partie comprise entre les restaurants et le parking du casino.
Cette rénovation de l’éclairage est sous la responsabilité du syndicat départemental d’électricité des côtes d’Armor mais ce n’est pas une raison de laisser cette fin d’installation se faire avec un modèle différent.
S’il y avait dans cette équipe un ou une élue suivant ces travaux de réhabilitation de cet éclairage depuis longtemps attendu, on ne serait pas ces derniers temps à observer cette singularité.
A Saint Quay Portrieux, il semble que le peu de travail collectif de l’équipe municipale soit mis à installer des composteurs.
Après les vacances on ne manquera pas d’humus.
Un couloir pour le passage des secours a été dessiné sur le sol du parking du casino, le SDIS est installé au dessus de la piscine, formons le souhait que ce passage sera dégagé le moment voulu .
Ce n’est pas le cas actuellement.

JOUNENT michel

samedi 3 juillet 2010

DOMINIQUE, LE JARDINIER.


Depuis sa rencontre avec Arthus-Bertrand*, notre premier magistrat s’est converti à l’écologie militante.
Il est le VRP, plus particulièrement , le placier de composteurs en bois brut pour certains, peinturlurés pour d’autres.
Sur la pelouse de l’hôtel de ville, un épouvantail habillé en marin garde des composteurs et un chevalet sensible au vent et aux chenapans.
A qui peut bien faire penser cet homme de paille au pull marin ?

Au rond point de la France Libre qui marque l’entrée majeure de la ville et qui porte un nom hautement symbolique et bien aujourd’hui c’est le dernier endroit où l’on rigole avant de s’attrister.
Les composteurs en bois par la débauche des couleurs et la vulgarité des dessins ne manqueront pas de distraire les automobilistes dans ce giratoire à la circulation dense et dangereuse.
Une question bête, ces composteurs sont ils factices ou sont ils de nouveaux points de récupération des déchets verts ?
Toujours dans ce goût de mettre la nature et les petits oiseaux en avant, les élus ont choisi une extension de la rotonde avec un toit couvert d’une petite pelouse.
Ce matin le dépotoir s’installe à cet endroit, papiers, canettes métalliques, bouteilles en verre, cela promet !!!



*Arthus-Bertrand et son alter ego Nicolas Hulot dans une époque où triomphent toutes les impostures, sont les auteurs d’un bel aphorisme.
« Tous en vélo et nous en hélico »

JOUNENT michel

jeudi 1 juillet 2010

BATIMENT BLANC…..

Face à la mer que l’on voit danser le soir, etc…, la rotonde, avec son extension, retient l’attention des promeneurs, des naïades et des gamins faisant des châteaux de sable.
La blancheur de cet ensemble est immaculée. C’est beau !!!

L’inauguration se fera dans quelques jours et bien sûr en grande pompe.
Ils vont être contents les résidents secondaires et les estivants, enfin une réalisation.
Reste à connaître l’addition et le financement de ces travaux et l’adaptation du CLJ à l’occupation de son siége (parking du casino,respect de la voie d’accès aux secours, accès à la mer des pratiquants de loisirs nautiques et sécurité des lieux ?)
Au moindre souci, s’adresser au Maire, il est là, c’est l’été.

La note discordante est la résurgence de casemates grises servant de poste de secours, rappelant aux anciens « le mur de l’atlantique ».
Bon il fait beau et c’est le principal.

JOUNENT michel